Pour ses 20 ans de création Messika s’inspire de la Namibie
L’Afrique australe est le thème de la nouvelle collection de haute joaillerie que la Maison Messika a présentée à l’occasion d’un défilé au Musée des Arts Décoratifs de Paris. Lors d’un voyage en Namibie Valérie Messika s’est inspirée des paysages, de la faune et des lumières de cette terre.
d’une terre de contrastes et de lumière. Quatre différents portés du collier de 3298 diamants, d’un ensemble de 103,30 carats se déploient en or brossé et éclat pavé, couronnés d’un diamant jaune de 34,92 carats.
« Le langage créatif de cette collection est un rappel puissant à la terre, berceau du diamant et ADN de notre Maison. En Namibie, j’ai été fascinée par la monumentalité des décors, ces ocres intenses, la lumière implacable et la majesté d’une faune souveraine. Face à cette nature indomptée, seul l’instant présent compte », explique la directrice artistique de la Maison.
Sa vision créative englobe aussi bien les couleurs du désert du Kalahari que l’élégance du guépard et la noblesse du lion. Ses parures inspirées par la Namibie, le Botswana et l’Afrique du Sud, qu’elle réinvente avec un regard contemporain et dans lesquelles l’or et le diamant dialoguent avec des textures et des finitions inédites.
La collection Terre d’Instinct est présentée en deux chapitres dont le premier révèle seize parures originales. Parmi elles, la parure Kalahara se distingue par ses deux diamants jaunes, dont une pierre de près de 35 carats. Le deuxième opus de Terres d’Instinct, est une nouvelle collection de Haute Joaillerie déployée en 23 parures qui s’orientent vers les immenses paysages et la force des contrastes de la nature. Puisée dans la splendeur originelle de la Namibie, elle traduit ciels, déserts et flore en rythmes et en éclats.
Photo titre : Divine Enigma présente une émeraude de Zambie de 30,13 carats comme un oasis de différentes nuances de vert. Entouré de diamants il évoque les plaines de l’Okavango.
