La nouvelle collection joaillère d’Hermès tourne autour de la chaîne d’ancre
« Accumuler, fusionner, fluidifier, j’ai exploré plusieurs territoires de jeux à partir de la forme archétypale » explique Pierre Hardy, directeur de la création de la joaillerie Hermès.
La chaîne d’ancre est l’objet de la collection du même nom. Le maillon devient le motif et la chaîne prend des couleurs sous forme de pierres précieuses et de différentes nuances d’or. En or blanc ou rose elle est sertie de saphirs bleus, de spinelles noirs de saphirs, de tourmalines et de diamants. La forme de la chaine varie, entre un volume léger ou puissant. Les différents éléments révèlent des formes minimalistes ou sophistiqués et selon l’échelle le motif se fait discret ou s’affirme.
Collier Chaîne d’ancre en or rose serti d’une tourmaline verte taille ovale (4,63 carats)
et d’une tourmaline polychrome taille cabochon (46,55 carats)
Pierre Hardy a imaginé des unions inédites pour la chaîne marine : des rangs qui s’entremêlent, se multiplient ou s’isolent et des maillons fins ou imposants, qui s’arrondissent, s’allongent, ou s’enlacent. La chaine se métamorphose également en un précieux accessoire, comme la minaudière, petit sac bijoux en or blanc et diamants ou en argent, portée autour du cou ou du poignet.
Photo titre: Bracelet Chaîne d’ancre Calypso en or jaune serti de 59 diamants (2,54 carats)
Mono-boucle d’oreille Chaîne d’ancre Calypso en or jaune serti d’un diamant (0,09 carat)
(Photos : © Paul Kooiker)