Hermès ouvre une nouvelle page de l’histoire des selles de la maison
On adore les sacs Hermès mais cette fois-ci la maison parisienne revient à ses origines : la sellerie. Le savoir-faire du sellier est en effet apprécié et réputé dans le monde entier. Depuis 1837, le cheval est au cœur d’Hermès et au centre des fondements de l’artisanat de la maison. Dès 1910 des selles ont été conçues pour être adaptées aux différentes disciplines équestres.
La Selle Rougeouvre une nouvelle page de l’histoire des selles de la maison. Hermès bénéficie aujourd’hui de l’expertise de quinze cavaliers partenaires. Présent dans l’équipe depuis 2016, Jérôme Guéry, médaille de bronze par équipe à Tokyo, a été associé dès le début à la conception de la Selle Rouge. Son expérience, les échanges permanents avec les experts-selles et les artisans selliers ainsi que les nombreux essais sur le terrain, ont permis d’aller plus loin dans l’amélioration de chaque détail technique.
Résultat : « Plus de contact, moins d’épaisseur, on est vraiment plus près du cheval,constate-t-il.La Selle Rouge permet une fixité du bassin et un meilleur ressenti des mouvements du cheval. On est vraiment bien calé. »
Dans l’atelier du faubourg Saint-Honoré l’artisan sellier Hermès fait sien les défis de l’athlète en quête d’une osmose toujours plus parfaite avec son cheval.
À chaque innovation apportée sur la Selle Rougea répondu la virtuosité d’un savoir-faire séculaireen permanente évolution.Charly Palmieri, artisan sellierMeilleur Ouvrier de France et metteur au point explique : « Pour que le cavalier trouve plus de proximité avec sa monture, on a encore affiné et allégé la selle. C’est-à-dire qu’on a associé efficacité technique et épure esthétique. »
